6ème édition

La santé, moteur d'innovations
du Bâtiment

Le 15 juin 2017, à Paris,
Cité des sciences et de l’industrie

L’ANSES présentera aux DÉFIS BÂTIMENT SANTÉ 2017 les conclusions de son expertise sur les compteurs communicants

L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié le 15 décembre 2016 son expertise sur l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis par les « compteurs communicants » dont le compteur Linky, actuellement l’objet de controverses.

Le déploiement de ces compteurs dits de « nouvelle génération » résulte d’une impulsion de l’Union européenne, dont l’objectif était notamment d’améliorer l’efficacité énergétique et de mieux maîtriser la demande d’énergie.

En raison des craintes associées au déploiement des compteurs communicants et leurs possibles impacts pour les usagers, l’Agence a été  questionnée par la Direction générale de la santé. Ses conclusions vont dans le sens d’une très faible probabilité que l’exposition aux champs électromagnétiques émis, aussi bien pour les compteurs communicants radioélectriques (compteurs d’eau et Gazpar pour le gaz) que pour les autres via les courants porteurs en ligne (CPL) technologie utilisée par les compteurs électrique Linky, puisse engendrer des effets sanitaires à court ou long terme.

À savoir : la transmission de la consommation d’électricité de la journée ne s’effectue que pendant moins d’une minute par jour la nuit. La technologie employée est utilisée quotidiennement depuis 50 ans pour envoyer le signal heures creuses aux compteurs électriques pour permettre à 11 millions de ballons d’eau chaude de ne fonctionner que pendant ces  périodes.

  Télécharger l’avis de l’Anses de Décembre 2016